A Fairytale for the Demon Lord

Aujourd'hui on attaque la cinquième review.

Et aujourd'hui on va partir du Japon jusqu'en Corée (du Sud évidemment).

Et nous allons aborder un format différent du manga que l'on connait: Le webtoon.

Ce format est uniquement sur internet, bien que beaucoup de webtoon coréens se voit recevoir une version papier.
(un exemple Japonais serais la version de Yusuke Murata du très célèbre One Punch Man, ou encore Cagaster dont la version papier est une exclusivité française)

C'est le cas du manga Manhwa d'aujourd'hui:
A fairytale for the Demon Lord



Manhwa de Kim Yong-Hwan, débuttant sa publication en 2011.
édition papier édité par Daum

ATTENTION: Les manhwas se lisent de droite à gauche, à l'inverse des manga.

L'histoire ne vas pas se concentrer sur le Demon Lord du titre.
Hééé non, il meurt au premier chapitre, vaincu par un chevalier sans nom, c'est lui qui va être notre héros.

Mais l'histoire est loin d'être finie.

Spoiler:

Le vieux, c'est Odin.
Ce manga est bourré de références à la mythologie nordique.
C'est même la mythologie nordique revisitée à la sauce futuriste, c'est génial.


Vous vous êtes souvent demandé ce qui se passe quand le héros sauve la princesse? Ils vivent heureux pour toujours?
Ah mes petits agneaux, vous êtes si naifs.

Malheureusement notre cher héros sans nom n'as pas droit à une destinée heureuse, il va descendre une longue pente infernale pour sauver une seul et même personne, la princesse.
Il va se damner, trahir, massacrer, tout cela au nom de sa seule raison de vivre.
Et si au final la princesse était le vrai monstre?
Si vous croyez que je vais vous le dire, vous vous mettez le doigt dans l'oeil.


Jusqu'à présent les divinités nordiques sont assez peu représentée, il y a biensûr Odin et et quelques autres. Mais pour l'instant on a pas Thor. (mais peut être est-il dans les pages encore non traduites.)

Vu que c'est un Webtoon TOUTE LES PAGES SONT EN COULEURS.

La première saison du Manhwa est sortie en volumes papier, une seconde saison est en cours.

Note Finale:
BADASS/10

Je le relis toujours avec plaisir.